Les 3 freins pour devenir tarologue (pdf)

Vous avez envie de devenir tarologue ?

Parvenir à exercer en tant que tarologue vous permettrait :

• D’apporter votre aide à de nombreuses personnes qui se sentent mal ou qui sont dans la souffrance.
• De devenir intime avec le tarot
• D’exercer un métier passion très créatif
• De développer votre intuition.

Cependant vous ne parvenez pas à réaliser votre objectif. D’obscurs freins sont là.

Nous allons explorer 3 gros freins qui vous empêchent de devenir tarologue.

Vous trouverez des pistes pour lever ces freins et réaliser votre rêve.

 

 

Le 1^er frein pour devenir tarologue : celui de la connaissance de soi

En quoi, le manque de connaissance de soi peut-il être un frein pour devenir tarologue ?

Si vous ne vous connaissez pas assez, vous allez générer deux types de problématiques :

• Pour le consultant lorsque vous allez projeter vos contenus psychiques sur lui en lui attribuant des problématiques qu’il n’a pas. Vous prenez alors un pouvoir sur lui.
• Pour vous quand vous serez perturbé par les paroles et par l’énergie de la personne qui consulte.

 

Vous pensez peut-être : « Mais je me connais ! »

En réalité, vous ne vous connaissez pas suffisamment pour exercer une activité de tarologue.

 

Plusieurs cas de figure se présentent :

• 1/ Vous ne savez pas que vous ne vous connaissez pas.
• 2/ Vous ne comprenez pas vos ressentis ni vos réactions
• 3/ Vos réactions émotionnelles vous échappent et vous débordent
• 4/ Vous avez des croyances qui vous limitent beaucoup pour pouvoir aider l’autre

 

1/ Vous ne savez pas vraiment que vous ne vous connaissez pas.

Vous croyez vous connaitre parce que vous avez fait quelques démarches de développement personnel et du « travail » sur vous-même. Pourtant, votre vie telle qu’elle se présente actuellement ne vous plait pas ou ne vous convient pas. C’est probablement le signe que vous ne vous connaissez pas suffisamment.

 

2/ Vous ne comprenez pas vos ressentis ni vos réactions.

Vous sentez un certain malaise sans comprendre d’où il vient et ce qui se passe pour vous. Vos réactions vous surprennent ou elles vous étonnent. Vous ne connaissez sans doute pas bien votre « programme par défaut » qui s’est installé durant votre enfance sans que vous le sachiez. C’est le programme qui vous a permis de survivre à différents traumas lourds ou légers.

 

3/ Vos réactions émotionnelles vous échappent et vous débordent.

Vous avez peut-être des réactions de blocages, ou de fermeture, ou bien des réactions impulsives que vous ne contrôlez pas. Même si vous en avez conscience, vous ne savez pas d’où elles viennent, et vous ne parvenez pas à les maitriser.

 

4/ Vous avez des croyances qui vous limitent beaucoup pour pouvoir aider l’autre.

Vous ne savez peut-être pas quelles croyances vous gouvernent, vous et votre vie. Elles font partie de la connaissance de vous-même. Ces croyances génèrent toujours les mêmes attitudes et les mêmes situations dans votre vie.

 

Pour vous connaitre mieux, vous aurez donc besoin :

• 1/ De comprendre que vous ne vous connaissez pas assez pour apporter votre aide.
• 2/ De comprendre d’où proviennent vos ressentis et vos réactions
• 3/ De maitriser vos réactions émotionnelles
• 4/ De connaitre les croyances qui vous limitent afin de pouvoir aider l’autre

 

Pour apprendre à nous connaitre, nous avons besoin, en tant qu’être humain, de l’éclairage d’une autre personne. Vous savez en effet que l’on ne peut pas se voir passer dans la rue ! Il n’est pas facile de prendre de la hauteur pour se « voir ».

L’utilisation d’outils de connaissance de soi est très précieuse. Il en existe beaucoup. En voici quelques-uns que je connais bien comme :

• L’approche du Référentiel de Naissance
• L’étude du thème astrologique
• L’analyse graphologique
• La connaissance de sa base de l’ennéagramme
• Le repère de la Spirale Dynamique
• La pratique des tirages du tarot
• La numérologie transgénérationnelle

 

 

C’est en priorité la vie qui, à travers les épreuves qu’elle nous fait traverser, nous apprend à nous connaitre. C’est ainsi que nous pouvons atteindre un certain degré de maturité.

 

Le 2^ème frein pour devenir tarologue : celui du manque de maturité

 

C’est la vie qui nous fait mûrir à travers les épreuves qu’elle nous fait vivre. C’est en réalité notre inconscient qui scénarise ces épreuves afin de nous permettre de récupérer notre énergie. Celle-ci a été en partie cristallisée au cours des traumas subis dans l’enfance.

 

Qu’est-ce que la maturité ?

Pour moi, c’est la capacité :

1. À assumer ce qui se passe dans sa vie et à se prendre en main
2. À accepter de ressentir les émotions engrangées pendant l’enfance
3. À accueillir ses parts d’ombre
4. À affronter ses conflits internes
5. À percevoir le cadeau derrière les épreuves
6. À entreprendre des démarches de connaissance de soi
7. À accepter de se faire accompagner et aider

 

Voyons plus en détail ces 7 points

1/ Assumer ce qui se passe dans sa vie et à se prendre en main

Cette posture nous fait sortir du triangle infernal où nous occupons alternativement les trois rôles suivants : celui de victime, celui de persécuteur et celui de sauveur.

En assumant la responsabilité de ce que je suis en train de vivre, je sors de la position de victime.

Or, nous pouvons facilement constater que nous nous plaçons très facilement et très rapidement dans cette posture de victime. Nous sommes victime du gouvernement, du climat, des aléas économiques, de nos conditions de vie, de l’agent de police, etc.

La réalité, c’est que nos états émotionnels, la qualité de notre conscience créent nos conditions de vie.

 

2/ Accepter de ressentir les émotions engrangées pendant l’enfance

En voulant nous protéger pendant l’enfance, notre cerveau a bloqué certaines émotions. Ce sont par exemple de la tristesse et des pleurs, de la colère et des cris, des peurs et des tremblements, du dégoût, de la honte, de la culpabilité.

La culpabilité vient de ce que l’enfant n’est pas en mesure de mettre ses parents en question. Il pense que c’est lui qui n’est pas ok. Il existe des techniques pour contacter ces émotions et pour les exprimer.

 

3/ Accueillir ses parts d’ombre

Nous avons tendance à projeter nos parts d’ombre sur les autres, sur le gouvernement, et sur tous les gens que nous critiquons.

Pour accueillir notre ombre, il est nécessaire de nous observer de façon lucide, voire impitoyable. Nous avons en nous la mémoire de tous les « défauts » de la terre. Nous avons en nous les possibilités d’être un assassin, un traitre, un tyran…

Accueillir tout cela est possible lorsque nous comprenons que nous sommes dans un monde duel fait de contrastes.

Les contrastes nous permettent de développer notre conscience. Je ne peux avoir aucune conscience de ce qu’est l’amour si je baigne constamment dans un amour absolu

 

4/ Affronter ses conflits internes

Nous sommes constitués de nombreuses « parts ». On parle de « sous-personnalités ». Certaines sont en conflits l’une avec l’autre.

Par exemple, une part de moi cherche l’harmonie, la beauté, l’amour, et une autre est agressive, autoritaire et dominatrice.

Je vais chercher comment faire la paix entre ces deux parts de moi.

 

 

5/ Percevoir le cadeau derrière les épreuves

Ce sont les épreuves de notre vie adulte qui nous obligent à aller chercher en nous des ressources pour y faire face. Bien souvent, nous percevons « le cadeau » plusieurs mois ou plusieurs années après.

Nous nous découvrons différents, plus riches intérieurement.

Certaines épreuves restent un mystère dans la mesure où elles laissent la personne désespérée ou apparemment détruite.

 

 

6/ Entreprendre des démarches de connaissance de soi

Ces démarches entreprises à l’aide d’outils (voir plus haut) sont une aide dans la mesure où elles nous confirment dans nos impressions. Elles nous permettent de mettre des mots sur des impressions parfois vagues. Elles nous aident à chasser des incertitudes ou des doutes sur nous-même. Elles nous ouvrent l’esprit sur nos potentiels, sur des possibles à développer.

 

 

7/ Accepter de se faire accompagner et aider

En tant qu’être humain, nous avons besoin d’un regard extérieur bienveillant et d’une écoute. Nous avons besoin d’une présence qui nous comprend sans nous juger. Une telle présence ouvre les espaces inconnus de notre intériorité.

Nous pourrions refuser cette aide par peur ou par orgueil. L’essentiel est de pouvoir choisir une personne en qui nous avons confiance, dont la présence nous apaise et qui nous stimule.

 

 

Le 3^ème frein pour devenir tarologue : la peur de la relation

Devenir tarologue, c’est exercer un métier basé sur la relation. Très bien connaitre la symbolique des cartes n’est pas suffisant. Il est nécessaire d’apprendre à vivre une relation dans le cadre d’une consultation de tarot.

De nombreuses personnes qui connaissent déjà le tarot, n’osent pas expérimenter ce type de relation.

Quels sont les freins ?

En voici quelques-uns.

• Ne pas oser proposer un échange
• Penser que l’on va faire des erreurs
• Avoir peur de faire du « mal » à la personne
• Croire que l’on n’est pas assez compétent

 

1/ Ne pas oser proposer un échange

Pour s’entrainer à la séance de tirage, il faut bien commencer avant d’être ou de se sentir compétent.

De nombreux débutants n’osent pas induire un échange avec le tarot.

Pourtant, il existe un moyen très simple de le faire.

Il est possible de proposer à une personne (même à une personne que vous ne connaissez pas) un échange de cette manière :

 

• Je te propose de découvrir le tarot à travers un mini tirage, sans te promettre d’interprétation car je débute
• Tu m’aideras à apprendre

Vous proposerez un petit tirage de 2 cartes par exemple :

• Une carte pour l’état dans lequel se trouve la personne
• Une autre carte pour son évolution

La première proposition sera de demander à la personne comment elle perçoit ces 2 cartes. Vous l’inviterez à s’exprimer.

Ensuite, vous pourrez si vous le sentez lui donner les mots-clés ou les archétypes de ces cartes.

Pour terminer, vous lui demanderez comment elle se sent.

 

Plus vous vous donnerez des occasions d’échanges simples, plus vous vous sentirez à l’aise. Vous trouverez votre manière d’être et d’utiliser le tarot.

 

 

2/ Penser que l’on va faire des erreurs

 

Il n’est pas possible d’éliminer les erreurs. C’est grâce aux erreurs qu’on apprend. Il vaut mieux accepter à l’avance de faire des erreurs.

Il est possible de dire à la personne que vous avez invitée : « Dites-moi si cela vous parle ou non. Je peux me tromper. »

 

 

3/ Avoir peur de faire du « mal » à la personne

 

Si vous établissez une relation avec une énergie bienveillante, avec de l’empathie, vous ne pourrez pas lui faire de mal. C’est la qualité de l’écoute et de la relation qui compte avant tout.

Ouvrez votre cœur, tout en gardant une attitude juste.

 

 

4/ Croire que l’on n’est pas assez compétent

 

On peut toujours croire que l’on n’est pas assez compétent. On apprend tout au long de la vie. Il est important de continuer à se former.

Là aussi, il est nécessaire de s’accepter tel qu’on est, au « niveau » où l’on est. Vous pouvez très bien inviter des personnes à rencontrer le tarot sans donner aucune interprétation.

Vous sentirez vous-même le moment où vous pourrez monétiser votre consultation.

Nous avons vu les trois freins qui vous empêchent de devenir tarologue :

• Le frein d’un manque de connaissance de soi
• Celui d’un manque de maturité
• Celui de ne pas oser proposer de petites rencontres sur le tarot.

 

 

Si vous voulez devenir tarologue,

En plus de la formation que vous suivez pour connaitre et apprendre le langage symbolique du tarot,

• Faites appel à une personne en qui vous avez confiance pour interroger des outils de connaissance de soi.
• Faites-vous accompagner pour accélérer votre maturité d’adulte
• Osez proposer des rencontres avec votre tarot.

 

Vous allez développer une forme d’intimité avec votre tarot qui vous rendra heureux ! Avant de vous lancer, profitez d’une formation gratuite !

 

TÉLÉCHARGEZ ICI L’ARTICLE

 

EN SAVOIR PLUS POUR DEVENIR TAROLOGUE